Beaucoup diraient que je suis un homme sans coeur, sans pitié. Et ils auraient raison. Je ne fais pas de cadeau. Je suis un homme froid. Ce qui doit être fait est fait. Le Cartel avant tout. Je suis un homme craint et j'en suis fier. Mais, je ne suis pas que ça. J'ai un coeur énorme qui bat pour ma famille. Je sais me montrer aimant et amical. Avec mon sang, et ma famille du Cartel. Mais attention... Je ne pardonne pas... Faites moi un truc que je n'aime pas et c'est fini pour vous... Je n'aurais pas de pitié pour vous virer de la ville, d'une façon ou d'une autre.

Mais bref, on va copier les autres et parler par points...

Charismatique et manipulateur : Je suis charismatique et capable de manipuler les autres pour atteindre mes objectifs. Je sais comment inspirer la loyauté et le respect, tout en utilisant la manipulation pour maintenir mon contrôle.

Calculateur et stratège : La gestion d'un cartel implique des enjeux énormes et complexes. Je dois donc être un stratège astucieux, capable de prendre des décisions calculées pour éviter la détection par les autorités et pour gérer les conflits internes.

Impitoyable : La nature des activités criminelles d'un cartel exige souvent que je sois totalement impitoyable. Je suis prêt à prendre des mesures brutales pour protéger mon empire, éliminer les rivaux ou traiter avec les membres infidèles.

Sécurité et secret : Je suis souvent très prudent en ce qui concerne ma propre sécurité et celle de mes opérations. Je cache mon vrai visage derrière plusieurs couches de protection et de secret.

Réactif et adaptable : Le cartel fait face à des défis et à des menaces en constante évolution, que ce soit de la part des autorités, des rivaux ou des fluctuations du marché. Je dois donc être capable de m'adapter rapidement et de réagir aux situations changeantes.

Ambitieux : Je vise à étendre mon territoire et à augmenter mes profits. Mon ambition est un moteur puissant derrière mes actions et mes décisions.

Relations internationales : Le cartel opère souvent à l'échelle internationale, ce qui signifie j'ai des compétences en relations internationales pour négocier avec d'autres groupes criminels, des clients ou des partenaires commerciaux.

Loyal envers ses proches : Bien que le monde des cartels puisse sembler sans pitié, je suis profondément loyal envers ma famille, mes amis proches et mes collaborateurs les plus fidèles.

Autorité : J'exerce une autorité absolue sur mes membres et mes opérations. Mon commandement est rarement contesté, et je prends des décisions unilatérales qui auront un impact sur l'ensemble du cartel.

Risquophilie : Je suis souvent prêt à prendre des risques énormes pour réaliser des profits élevés. Cette tolérance au risque peut être l'une des raisons pour lesquelles je suis à une telle position de pouvoir.

Depuis petit le sang coule sur mes mains, ce n’est pas le mien, non… Celui des victimes de mon père d’abord, puis les miennes, tôt, trop tôt surement pour le commun des mortels, mais nous n’étions pas de simples humains. Mon père était le plus craint de tout les chefs de cartel d’Europe. Un homme sans coeur, sans pitié, et sans aucun remords. Il était sanglant, et obtenait toujours ce qu’il voulait. « Un jour ce sera toi. Alors maintenant tue le. » Première balle dans la tête d’un ennemi, d’un chef de gang qui tentait de nous prendre des terres. « Ne détourne jamais ton regard, sinon la balle c’est entre tes deux yeux qu’elle finira. » C’était un ordre, alors je n’ai pas détourné mon regard. Jamais. Mes vicitmes pouvaient voir mes yeux noirs comme dernière vision pour leur voyage vers l’au délà.
Mon père à fait de moi un homme sans coeur, comme lui, digne héritier du Cartel de Kinahan. Je deviens comme lui.  Assaut, assassinat , trafics de stupéfiants, d’armes, contrefaçon, extorsion, blanchiments d’argents, fraudes, contrebande, vol, racket, j’ai tout appris pour le gang, toutes les activités, toutes les ficelles, mais je ne m’approchais pas trop du proxénétisme, préférant la chair féminine dans mon lit plutôt que de les gérer.

« Toutes mes félicitations. » Je regardais cette épouse qu’on m’avait donné, une alliance, pas le choix, elle était belle, sexy même putain alors de quoi je me plaignais. Elle avait des formes, mais étaient plutôt fines, elle était loyale, et son regard dans le mien, un peu terrifié. Je pris sa main. « Je te protègerais toujours. » Je lui dis le premier soir alors que le devoir conjugal nous appelait. « Mais ne trahis pas les miens, sinon je te tuerais. » Avertissement… Pour elle comme pour moi, car tuer une femme, mon épouse… Impossible, surtout après qu’elle eut mis au monde mon fils. Même si j’étais le connard sans coeur qui tranchait des gorge et butait tout le monde sans faire de différence. Je tombais amoureux de cette italienne au coeur pur. La petite main de mon fils dans la mienne… Je devais en faire mon héritier, élevé à la dur, avec des règles strictes de mon côté, mais du côté de ma tendre épouse, la douceur et l’amour.
Je les aimais, tous, mes filles qui arrivèrent les unes après les autres elles aussi, mais je ne pouvais pas être toujours doux. C’était pas mon rôle. Je n’étais pas comme ça. Même si avec eux, j’étais aimant. Avec les autres j’étais sans pitié.

Offrant à mon fils un de nos trafics, (d’armes ou stupéfiant) il est un associé de choix, le meilleur dans son domaine, et un jour sera le meilleur pour prendre ma relève. Ma femme ne voulait pas que je les mêle au Cartel, j’ai respecté son choix pour les filles. Enid était si solaire, que personne ne viendrait la ternir, personne… Même ce gars que j’ai envoyé en mission avec la mafia italienne pour ne pas le revoir traîner près d’elle. Et Eileen… Bien plus coriace, je n’ai pas pu la laisser loin de mes affaires, elle est aussi têtue que moi. Si la première tient de sa mère, elle, c’est un mini moi en femme, forte et tellement impressionnante. Offrant un cabaret à celle ci, au sous sol, il s’y passe des choses qui arrange le cartel. Malgré ma fermeté durant leur éducation à tous, quoi qu’il arrive, je serais toujours devant elles si une balle devait passer.

Pour les grandes occasions, genre noël ou certaines fêtes, les membres du Cartel venaient à la maison pour diner devant la piscine. C'était vraiment ultra familial et bonne ambiance. La seule règle ces jours là : pas de Cartel, pas d'histoire de business. Et ça permet de serrer les liens, de prendre soin des familles des uns et des autres. Je tiens à cette solidarité, cette loyauté. C'est là une différence que ma femme a apporté au Cartel, qu'elle m'a permis d'avoir en adoucissant un peu le monstre que je suis... Alors que la fête bat son plein, il se peut qu'au sous sol, le sang coule....